pour la taille et la répartition sur la forteresse, c'est vrai que dans la première édition, il y avait plus d'adjectif, dont un pour la taille, et une distinction entre zone et portée. après, pour limiter la "masse transportable", il suffirait peut être de dire que que la taille maximale de l'illusion est fondue dans la notion de portée, qui influerais alors à la fois la distance maximale entre le lanceur et la cible, la zone d'effet et un ordre de grandeur pour la taille modifiable. ça permettrait peut être d'équilibrer sans avoir à trop rajouter de détails.
Pour ce qui est de la complexité de la grammaire magique, c'est quand même grandement simplifié par la nouvelle structure "sujet-verbe-median-cible", qui laisse quand même pas mal de choix sans non plus être trop vaste pour paumer le magicien.
Après, pour ce qui est de la fréquence variable, ça peut être contourné en limitant le nombre de "sorts disponibles", dont l'effet serait fixé, mais dont les shemes sujets, cibles voire médians pourraient être changés à la volée, soit en fixant un nombre maximal de sorts en fonction du score de magie, soit en réintroduisant la notion de temps de création de sort. ça mettrait un peu en l'air la possibilité de créer ses sorts à la volée, mais ça résoudrait à coup sur les problème de fréquence, celle ci étant fixée à la création du sort en question.
Pour les seuils de difficultés, c'est sur que c'est à travailler, vu qu'en l'état, ça rend pas mal de sort abominablement compliqués, mais en même temps, sans un minimum de handicap ça serait beaucoup trop puissant par rapport aux autres personnages (c'est pour ça que j'aimais bien mon idée de concentration du sort, qui permettait d'augmenter la puissance, mais avec un cout.)
Sinon, quand à la prononciation du sort, faut pas oublier que les mages prononce leurs sorts en nomoï, ce qui donnerais alors des phrases comme "golh vukh mous gath mans gath", ce qui peut tout de suite rendre mieux en partie 😀 (ou sinon, plus serieusement, ça peut peut etre etre arrangé en donnant des noms aux sorts usuels, comme vol pour "X deplacement dans air pour X" ou embrasement pour "lui perception de feu pour lui".
Et Telemnar, c'est justement de concentration que je parlais. Avec le "geste", le magicien se retient justement de lancer son sort, pour mettre sa réussite (une fois les malus du sort retirés), et ensuite retenter au tour suivant de lancer son sort avec un bonus correspondant à la réserve (ce bonus pouvant être conservé tant que le magicien y consacre son action/geste. du coup, d'un point de vue RP, j'avais justement en tête l'image du magicien qui retiens l'énergie de son sort en lui, en continue l'invocation sur plusieurs tours jusqu'à obtenir la puissance voulue pour la relâcher (ou bien que celle ci se relâche d'elle même, causant au passage une vive douleur au magicien et à son égo).
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