N'ayant pas encore réussi à trouver un nom pour la bestiole que je propose, n'hésitez pas si elle vous inspire quelque chose 😉

En fait de bestiole, c'est plutôt l'union symbiotique de 2 créatures que je vais décrire:

– d'un côté, on aurait une sorte de gastéropode à la consistance gélatineuse proche d'un "blob", dont la principale faculté sera sa capacité à digérer toute matière organique après l'avoir enveloppée avant de la "recycler" et de la stocker en grande partie sous forme de miellat dans son corps gélatineux.

Cette caractéristique, associée au fait que cette créature est très lente, devrait en faire la cible idéale de tout prédateur à la recherche de nourriture facile…

– Ce serait effectivement le cas si ce gastéropode ne recevait l'aide providentielle d'un insecte (semblable à une guêpe par exemple) qui choisit de construire sa ruche sur la partie renflée et gorgée de miellat du gastéropode, afin de pouvoir y puiser les nutriments nécessaires au développement de la colonie…

On pourrait penser que l'insecte parasite l'hôte mais, dans les faits, ce dernier y gagne quelques avantages:

– tout d'abord, en érigeant sa ruche, l'insecte procure une sorte d'armure au gastéropode qui en est normalement dépourvu.

– deuxièmement, il se trouve que l'insecte participe "activement" à la croissance de son hôte: en effet, si la piqûre en soi de cet insecte est relativement indolore, son venin est paralysant et un essaim de bonne taille peut parvenir à mettre des créatures de bonne taille hors de combat…Il ne reste alors plus au gastéropode qu'à venir se repaître de la victime…

C'est ce que je me suis dit ^^

Cette "alliance" n'a pas de réel intérêt pour un armimalier, du fait du comportement relativement passif du gastéropode et de l'agressivité de ses "passagers" qui n'apprécieraient que modérément de voir quelqu'un s'approprier les réserves nutritives de leur hôte pour son bénéfice (vu que ce serait le seul avantage)…

On peut par contre concevoir que cette créature soit "chassée" par certaines peuplades pour récupérer le miellat (voire le poison paralysant des insectes en prime) et que certains individus de l'espèce puissent atteindre des tailles relativement impressionnantes…En effet, la taille de l'essaim croît avec celle du gastéropode, donc les insectes peuvent paralyser des proies plus grosses qui nourrissent davantage leur hôte, etc…

Un mollustésite ? Un gastaepsite ?

Un nom moins "savant" : le Fondeurbak ?

Hé hé hé, oui, oui, c'est fait pour ça ! 🙂

Très bien Ergelen !

On s'en fou des allemands, de toutes façons, ils ont tout pompé au langage Héossien 🙂

J'imagine bien son mode de reproduction par scissiparité :

Lorsque l'Ergelen atteint une taille suffisante, il se scinde en deux.

Les abeilles quant à elles, récupèrent les matériaux de la ruche initiale pour rebâtir leurs nouvelles colonies (la ruche primordiale étant devenir trop grande pour les nouveaux Ergelens.

Deux nouvelles reines sont choisies pour les nouvelles ruches.

On peut ainsi penser que l'ancienne reine reste dans les restes de son ancienne ruche qui finira par pérécliter…

Vraiment, vous êtes trop forts !!!

J'adore ce forum 🙂

Oui, snif, ça me donne envie de chialer de bonheur.. 🙂