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Arpège
Arpège posté le [28/01/2014] à 17:51

Salutations à tous.

Je vous propose un système de programmation pour Shaan Renaissance. Des pistes de background pour les cités. Je suis en train de bosser dessus et d'ici la fin de la semaine je pourrez vous l'envoyer. En attendant voici ce que j'ai déjà fait. Je me suis largement inspiré de ce qui avait déjà été écrit dans l'ancienne version. Je me tiens à votre disposition pour tout renseignement complémentaire ou toute participation à ce jeu dont l'univers m'a happé avec passion.


PROGRAMMATION

Un programme en Arpège se nomme une partition. Chaque note est une action pouvant être effectuée par le programme. Nous avons fait une liste des notes pouvant être effectuées. Chaque niveau de spécialisation ouvre droit à un type de fonction. Posséder au moins culture humaine permet d'obtenir l'accès à Arpège et de bénéficier des fonctions de base (donc les notes de base).

Lorsque le programme est lancé il s'agit alors d'un accord, il est très souvent conçu pour n'avoir que deux à six notes (fondamentale, tierce, quinte, septième, neuvième, et onzième).

CONCEPTION

Une partition est définie par le concepteur et peut être partagé en autant d'autres programmeurs afin d'asseoir le projet. Le niveau de difficulté du projet dépend de la puissance du programme pour chacune de ses notes. Invariablement chaque note reçoit une force de base de +1 sans accroître la difficulté.

Par exemple si un concepteur part sur un accord tierce avec une puissance de (+2/+3/+4) ; cela montera la difficulté à : 3 (tierce) +2 +3 +5 (les différentes puissances) = 13.

La première note de l'accord correspond à sa nature, sa forme. Un design doit être fait par le chef du projet.


Accord Puissance Difficulté

/ +1 0

Fondamentale +2 2

Tierce +3 3

Quinte +4 5

Septième +5 7

Neuvième / 9

Onzième / 11

DECLINAISONS

Note Fonctions

¯ Annulation ou suppression d'un objet dont l'utilisateur a l'accès

@ (mineur) Identification, adressage, marquage.

# Piratage.

$ (majeur) Conception de système.

Un programme ou partition est le projet de création d'un objet. Ce dernier est un élément existant dans Arpège.

DO

Création : permet d'exécuter un objet (de le créer).

@Do Alias permet d'identifier un objet et ainsi son adresse, éventuellement d'en changer.

#Do Décompilation permet d'obtenir la partition d'un objet venant d'être lancé.

$Do Avatar permet de donner une nouvelle identité et/ou la conception d'une intelligence artificielle. Ses capacités sont équivalent à deux fois sa puissance en ce domaine.

RE

Contrôle permet d'obtenir les services d'un objet (caméra, télévision, ordinateur, télécommunicateur etc.) si l'accès est obtenu.

@Ré Superviseur permet de prendre contrôle des ressources de l'objet, le superviseur rapporte les événements à son utilisateur, il devient indépendant et autonome.

#Ré Marionnettiste permet d'accaparer les ressources d'un ou plusieurs à proximité pour améliorer les performances de calcul du matériel, encore faut-il que ces systèmes soient accessibles.

$Ré Sentinelle permet de créer un objet qui surveille et alerte toute modification de l'espace immédiat à son contrôleur.

MI

Mémorisation permet de conserver en mémoire des données issues d'un objet (il peut s'agir d'un enregistrement, de données, d'informations ou vidéo).

@Mi Vigile permet de vérifier l'émergence d'erreurs dans le système et d'infection.

#Mi Prolifération permet à un objet de se multiplier seul lorsqu'il est implémenté dans un environnement qui lui est familier. C'est souvent le cas de virus.

$Mi Sauvegarde permet de protéger sa personne et ses données contre les intrus.

FA

Architecture permet de concevoir un système dans le monde virtuelle.

@Fa Signature permet d'identifier et de reconnaître le concepteur du système ou d'un objet.

# Fa Déverrouillage permet de trouver le code accès d'un objet sans en avoir l'accès.

$ Fa Secret permet de concevoir un accès dissimulé d'un système ou d'un objet afin d'en conserver un accès personnel ou une fonction cachée (un cheval de Troyes).

SOL

Gestion permet du matérielle, il peut accélérer ses capacités d'accès (vitesse), accroître la mémoire virtuelle (mémoire).

@Sol Analyse permet de connaître les différentes ressources du système et des informations sur l'environnement immédiat. La reconnaissance des différents objets peuvent être définis.

#Sol Furtivité permet rendre un objet invisible aux yeux du système, encore faut il que son niveau soit supérieur à ceux des forces en présence.

$Sol Quarantaine permet d'isoler un objet.

LA

Sécurisation permet d'accorder des droits d'accès d'un domaine accessible par l'utilisateur.

@La Cookie permet de pister un objet (une fois lancé le programme enregistre chaque choix de l'objet et fait un rapport à son contrôleur).

#La Fantôme permet à un objet de ne pas laisser de traces ni d'acquérir des cookies.

$La Sphynx permet de sécuriser des données grâce à un code.

SI

Altération permet de modifier les caractéristiques d'un objet, d'une ressources ou d'en multiplier les effets.

@Si Flashback permet de récupérer des données altérées, effacées ou dégradées afin de les restituer.

#Si Malice permet d'attaquer un objet, il existe différents types de malice un par type d'objet. Il s'agit d'une infection d'un objet qu'il soit virtuel, matériel et peut affecter le personnel.

Pour les intelligences artificielles : les dommages infligés altèrent les données et sont assimilées.

$Si Champi permet d'effacer des données en faisant disparaître les adresses et en écrasant les secteur mémoriels physiques de données aléatoires.


Arpège posté le [28/01/2014] à 18:51

Très intéressant ! Mais n'est-ce pas trop shaaniste pour Arpège, qui est à l'évidence une création humaine ?


Arpège posté le [28/01/2014] à 18:52

Alors c'est génial.

Il y a ça que je n'ai pas compris :


Une partition est définie par le concepteur et peut être partagé en autant d'autres programmeurs afin d'asseoir le projet. Le niveau de difficulté du projet dépend de la puissance du programme pour chacune de ses notes. Invariablement chaque note reçoit une force de base de +1 sans accroître la difficulté.


Par exemple si un concepteur part sur un accord tierce avec une puissance de (+2/+3/+4) ; cela montera la difficulté à : 3 (tierce) +2 +3 +5 (les différentes puissances) = 13.


Il faudrait des exemples de création de programme avec difficulté et TEST pour que l'on se rende bien compte…


Et d'autre part, est-on sûr que tous les concepts de programmation "rentre" uniquement en 8 notes ?


Mais sinon c'est vraiment très sympa !


Arpège posté le [30/01/2014] à 18:38

Globalement tout peut se résumer à ces huit notes, maintenant j'avoue avoir un peut broder pour les deux dernières. Maintenant il est toujours possible d'en discuter.


Je suis parti sur le concept des notes parce qu'Arpège tient de la sémantique musicale (et également à l'univers de Shaan). Etant donné que je suis un piètre musicien (nullissime en fait), un mauvais informaticien (loupé mon DUT), j'avoue avoir un bon niveau d'analyse (seul cours auquel j'étais très bon pendant mon DUT) et de synthèse.


Maintenant, la grande difficulté est de faire découvrir les univers des pirates informatiques et les mondes virtuels qui peuvent eux-même contribuer à des campagnes entières (référence ciné : Nirvana, Existenz, Repo Men,IA, Blade Runner, Total Recall, Avalon).


NB : Même si ces films peuvent être kitshissime, ils demeurent de bons films (et ce malgré tous les apriori vis à vis de certains acteurs).


Arpège posté le [30/01/2014] à 19:51

Mais sinon, tu as lu le supplément "Humains" de la première édition ?

Car il y avait quand même pas mal d'infos sur Arpège, le code, les pirates, les programmes, les virus, etc. Que l'on va reprendre dans cette nouvelle édition, d'ailleurs en adaptant les règles au nouveau système de jeu.


Arpège posté le [30/01/2014] à 20:03

Plusieurs programmeurs peuvent être dirigés par un chef de projet afin de créer ce programme.

Un programme dispose de plusieurs fonctions dispensées (note, mineure, dièse, majeure).

Chacune de ses fonctions ou note possède une force de programme minimale de +1. Cette force peut être accrue selon le souhait du chef de projet, augmentant la difficulté du projet.


Difficulté | Force du programme |

0 | +1 |

+2 | +2 |

+3 | +3 |

+5 | +4 |

+7 | +5 |


Un programme tire sa puissance également grâce aux ressources dans lesquelles il peut puiser. Ces ressources dépendent de celles dont il a accès (ordinateur, station, borne Arpège, console, morphe etc.). Lorsqu'un programme agit, c'est comme si votre personnage agissait (sauf qu'il ne lance que deux dés).

Logique (jaune) et chaos (noir).


>> notez bien les couleurs de ces dés (c'est exprès).


Le nombre de fonctions que pourra exécuter un programme instaure une difficulté de base.


Difficulté | Fonctions |

de base | ou notes |

+2 | 2 |

+3 | 3 |

+5 | 4 |

+7 | 5 |

+9 | 6 |

+11 | 7 |


Par exemple, un programme ayant deux fonctions de base chacune ayant une force de deux :

Diff de base (deux fonctions)… +2

Force de +2 ……………….. +2

Difficulté de programmation … 4


Par exemple, le programme VIDEUR est un accord de Quinte (4 fonctions)…………………………………………… +5

Le programme est capable de réflexion (do majeur) et est autonome mais demeure très primaire (puissance +1) ………………. +0

Le programme est capable de reconnaître un objet grâce à sa signature (Fa mineur), il est plutôt moyen(puissance +3)….. +3

Le programme est capable de reconnaître les infections (Mi mineur) des parasites (puissance +2) …………………… +2

Le programme est capable de maltraiter l'objet (Si dièse) de manière à dissuader toute récidive (puissance +4)………… +5

DIFFICULTE FINALE…………………………………….. 15



DUREE ET PROGRAMMATION (là il y a un peu de moquerie)

Maintenant, un petit ajout…. La durée de base de programmation est en semaines (attention cela n'a rien de réaliste). A chaque semaine, le programmeur effectue un jet. Le nombre de programmeur

ne peut excéder le nombre fonction (chaque fonction est nécessairement relégué à un programmeur maximum). Les jets se font à une semaine majoré du nombre de programmeurs (cela est du au fait qu'ils doivent harmoniser leurs sous programmes).


Pendant le cumul des tests pour réussir à vaincre cette difficulté. Le niveau de Bug commence à 5 et varie à chaque jet :

JET | BUG

0 | -2

1 à 2 | -1

3 à 6 | 0

7 à 8 | +1

9 | +2

Le programmeur peut essayer de tenter de solutionner cette erreur pendant la programmation, cependant cela entraîne un retard dans les délais (3 semaines de retard contre deux pour un travail d'équipe, c'est plus facile de se faire relire par quelqu'un d'autre). Le niveau de Bug ne peut être nul.


DEBUGger un programme après sa sortie, permet de faire des mises à jour (de lier vos clients à vos produits, d'avoir un oeil sur vos produits à distance, de connaître vos clients etc.).


* Le niveau de BUG détermine le maximum pouvant être obtenu par un programme (à l'instar d'un domaine du personnage).


* Le nombre de fonctions déterminent la résistance du programme (à l'instar du corps/âme/esprit/nécrose du personnage).


Arpège posté le [30/01/2014] à 20:08

Je crois avoir ommis le détail que j'ai la collection complète de Shaan première édition chez moi, que je suis l'un de tes fans de la première heure (même que j'avais les premiers romans, premier cycle, malheureusement que j'ai prêté mais que l'on ne m'a jamais restitué). Je me suis d'ailleurs remis à le lire pour t'écrire cette version. Si elle t'intéresse prends là sans réserve. Le fait de participer à cette aventure me ravit et me suffit.


Arpège posté le [30/01/2014] à 20:51

C'est génial, mais il y a juste quelques précisions de rédactions à apporter pour la compréhension :

* Dans le tableau difficulté/fonctions, préciser qu'il s'agît de difficulté/nbre de fonctions

* Préciser, pour l'intervalle entre deux tests, que c'est (1 semaine + (nbre de programmeurs supplémentaires) jours)

* Parler de niveau de débugage plutôt que de niveau de bug. En effet, plus la valeur est élevée, plus le programme est débugué. Démarrer au niveau 5 me paraît trop élevé, j'aurais plutôt démarré au niveau 3 (Par défaut, un programme tout neuf est presque toujours fortement bugué).


Enfin, j'aurais interverti les conséquences en termes de règles du nombre de fonctions et du niveau de débugage : Un niveau de débugage élevé augmente la difficulté pour mettre le programme en panne ; c'est donc sa résistance (comparable au niveau de thrin pour un personnage) ; le nombre de fonctions augmente sa capacité à accomplir des tâches complexes ; il est donc comparable au niveau de domaine pour un personnage


Arpège posté le [30/01/2014] à 22:53

J'y souscris.


Arpège posté le [31/01/2014] à 01:39

Nom de dieu Tototoro, on t'a perdu, reviens 🙂

Bon, il y a plein de choses très très intéressantes là-dedans, il faut maintenant que ça puisse être utilisable par des joueurs non-informaticien.


Il faudrait donc se mettre dans la peau de quelqu'un qui n'y connaît rien en informatique mais qui voudrait jouer un gars qui se balade sur Arpège et puisse faire des programmes qui peuvent faire des trucs.

Il faut donc transformer ces concepts en gameplay. Donc je pense que l'on ne peux pas dissocier le langage de programmation du système de jeu pour la programmation.

On pourait partir sur un jeu dans le jeu, un peu comme j'étais parti avec la magie des schèmes, que l'on replacera dans un des suppléments.


Et si on faisait ça sous forme de jeu de cartes, façon Netrunner, mais avec des spécificités de shaan, mais en beaucoup plus simple évidement.

ça permettrait d'avoir un truc un peu complexe mais gérable grâces aux cartes.

Bon c'est freestyle, là, j'écrit en même temps que j'invente, donc faudra trier, retravailler, récupérer réécrire…


On pourrait avoir une base de 12 cartes, une par note, mais on peut rajouter les dièzes et les bémoles, comme ça on s'affranchi des douzes cartes.

Donc l'idée : le MJ se constitue un "deck" de X cartes qu'il choisi parmi X cartes.

Ces cartes constituent l'environnement du joueur, donc on a aussi bien, la connection, le système d'exploitation, les pare-feux, les démons, les virus.


Un système est composé de trois composants :

La structure : c'est le corps du ystème, l'agregations des composants et des circuits électroniques qui le constitue, avec le système de ventilation, les plaques de protection, le hardware.


L'IA : l'intelligence artificielle, l'esprit, est lui composé de tous les programmes qui permettents aux informations de transiter et de communiquer avec d'autres systèmes, et sur Arpège de manière générale.


La rémanence : c'est l'âme du système, constitué de tout ce qui a été effacé, mais qui laisse encore une trace quelque part et qui peut entrer en interraction avec les données stockées ou transitoires. La rémanence d'un système est difficilement maîtrisable, car plus on veut supprimer une rémanence et plus on l'alimente. C'est la partie irrationnelle d'Arpège, là d'où viennent les démons et toutes sortes de trucs bizarres. Mais les systèmes de dernière génération, grâce à la technomancie notamment, réussissent à canaliser cette rémanence, voir à l'exploiter.


On a donc trois façons de pouvoir pirater un système : soit on passe par la structure, en la bousillant ou en créant des connections qui permettent de choper des données, soit on s'attaque directement à l'IA, soit on essaye d'exploiter sa rémanence.


Les programmes, sont donc sont spécialisés pour taper fort sur un composant et pas trop sur les autres, soit pour taper de façon moyenne un peu partout.


Donc, pour le système, chaque composant a une valeur de 3 à 15. Il faudra dépasser un seul composant pour pirater le système (ou cela peut être en fonction de ce que l'on veut faire : destruction, récupération, incrustation, altération). Mais chaque composant peut avoir des capacités, sous formes de cartes qui permette de protéger les composants, ou d'attaquer son agresseur.


Pour les programmes et la programmation, et bien il suffit d'attribuer des fonctionalités à chaque note en fonction des composants qu'elles peuvent toucher, et des capacités du système que l'on veut contrer.


Lorsque l'on est dans Arpège, on a un avatar qui est une réplique de soi mais en simplifié.

On garde juste nos trihns, Corps, âme esprit, qui vont servir de carac de base sur Arpège.

On parlera alors d'a-Corps, d'a-Ame et d'a-Esprit.

L'a-Corps permet d'attaquer la structure

l'a-Esprit permet d'attaque l'I.A

l'A-Âme permet d'attaquer la Rémanence


Il suffit maintenant de créer des fonctions qui peuvent affecter le système, ou les a-trihns du perso, ou son déplacement, sa communication, etc.

On aura une fréquence d'activation à chaque tour, à chaque situation, chaque jour.

Une porté personnel, contact, interaction distance.

Une cble, soi, une cible, réussites cibles, deux, zone, etc.

activation du pouvoir : geste, 1 action, 2 actions, 1 heure


Tous les pouvoirs de la nouvelle édition se basent sur ces 9 fonctionnalités :

• Altération (ignorer des bonus apportés par des capacités, ou donner des malus)

• Amélioration (booster ses caracs ou ses fonctions)

• Attaque (réduire les composants d'uun système)

• Contrôle (obliger le système à faire ou ne pas faire certaines actions)

• Défense (réduire les dégâts occasionés par les capacités du système)

• Déplacement (augmenter sa vitesse de mouvement au sein du ssytème)

• Invocation (créer un objet avec des fonctions)

• Perception (récupérer des infos sur le système, points de composants, capacité)

• Récupération (récupérer des points de a-Corps, a-Ame et a-Esprit


Et donc, on peut rebalancer toutes tes fonctions, mais en les adaptant au fait qu'elles doivent avoir une des 9 fonctionnalités, mais on peut très bien combiner ces fonctionnalités.

Mais en fait, il vaut mieux mettre le nom de la fonction en premier, et la note qui lui est assigné juste en info, mais fondamentalement, le joueur n'en n'aura pas besoin et cela ne va pas le forcer à devoir apprendre un nouveau langage.


Création (invocation) : permet de matérialiser un objet et de lui donner une fonction

[Do]

Sentinelle (perception) : Permet de rajouter réussite test à son jet d'initiative

Signature : permet d'identifier et de reconnaître le concepteur du système ou d'un objet. [@Fa]

Flashback permet de récupérer des données altérées, effacées ou dégradées afin de les restituer. [@Si]

etc.


Et donc, on aurait une carte par fonction et on devrait se constituer un deck de X cartes (selon niveau en spécialisation arpège par exemple, donc de 1 à 5 cartes, ou pas).


Ensuite, on lance les 3 dés, on peut comme d'hab dépenser des points de a-trihn pour augmenter ses chances de réussite.


Et puis voilà…

Bon ça fait un bon petit chantier, mais ça peut être rigolo, mais surtout, il faut bien penser la programmation Arpège, comme du Gameplay.


Voilà, voilà. Je ne me relis, pas, le laisse comme ça….


Arpège posté le [31/01/2014] à 09:05

En fait voilà, on pourrait avoir nos fonctions de programmation :


• Altération (DO)


• Amélioration (RÉ)


• Attaque (MI)


• Contrôle (FA)


• Défense (SOL)


• Déplacement (LA)


• Invocation (SI)


• Perception (DO#)


• Récupération (RÉ#)


Et les "pouvoirs" sont donc des Programmes qui utilisent une des 9 fonctions du Code.


Et après ce qui pourrait être rigolo, c'est de faire une version en ligne de ce système de jeu, pour simuler un piratage d'après un ordi ou un tablette, en pleine partie.

Et le pire c'est que l'on n'a aucune limite tehnique pour le faire, puisque Julien et Moi, on a les connaissances pour ça. Bon, il nous faudrait juste une autre vie en plus. Mais si des amateurs de programmations veulent s'y cogner, on peut fournir le process et les ressources graphiques.


Voilàààà


Arpège posté le [31/01/2014] à 09:05

En fait, il y a plus que trois façons de pirater :


– Le hardware : avec la possibilité de créer des court-circuit du support matériel, de profiter des ressources d'ordinateurs, station de travail ou console.

– Le software : la possibilité de contrôler des programmes qui viennent d'être lancés, d'attaquer des programmes.

– Les données : suppression des données, aspiration des données, analyser des cookies.

– L'avatar : créer un avis de recherche dans Arpège, faire circuler une rumeur.


Je suis d'accord pour l'interface du programmeur ; les notes sous forme de cartes. A moins de créer sur ta page un petit jeu de création de programmation et ensuite de fabriquer une carte par programme, ça risque de compliquer la chose.


Désolé, mais je suis un passionné. Du coup j'ai tendance à beaucoup taper d'informations (il m'est arrivée d'avoir pondu un livre de règles de jeux de rôles en une semaine de plus de cent pages).


Arpège posté le [31/01/2014] à 11:09

Tu n'as pas à t'excuser d'être passionné, c'est génial !


Arpège posté le [31/01/2014] à 12:03

Tape, tape Totoro, il n'y a pas de soucis 🙂

Le jeu de cartes il est optionnel en fait, l'idée était simplement de retomber sur notre moteur de jeu. On a d'ailleurs prévu d'avoir un jeu de carte avec tous les pouvoirs pour les persos.


Quand on pirate, ce n'est pas tout Arpège, que l'on pirate, mais un système lié à une entité avec des coordonées de localisation. Ce système je propose de le résumer à 3 composants : la structure, l'IA et la Rémanence. Donc quand on s'attaque à un système on s'attaque à un de ces trois composants.

Hardware > structure

Software > IA

Données > Rémanence


L'avatar, il est l'identité que l'on prend pour circuler au sein d'Arpège et donc on peut le booster avec des programmes spécifiques.


D'ailleur, c'est un truc dont on n'a pas parlé, mais qui va de soit pour moi : au sein d'Arpège, en fait, on pénètre dans 1000 mondes, qui sont autant d'univers parallèles thématisés : high tech, conceptuels, fantasmagorique, historique, fantastique, contemporain, aquatique, élémentaire, magique, etc.

Cela peut vraiemnt être un jeu dans le jeu et qui permet d'explorer d'autres types d'univers avec ses propres codes, ses propres créatures, selon les profils des programmeurs qui sont à l'origine de ces mondes-interfaces.


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